Reza Marmoulak, personnage principal, est un voleur connu dans le milieu des criminels pour son habileté à escalader les murs (d’où son surnom de "Marmoulak", ou "le lézard" en Persan). Tout au début du film, il est arrêté et inculpé pour un vol à main armée, crime qu’il n’a pas vraiment commis, comme il sera révélé au cours du film. Néanmoins, il est condamné à aller en prison où il se trouve devant un gardien très sévère et cruel qui dit que son intention est de «faire de Reza une personne», de l'amener à se repentir pour être accepté au paradis, et ce par force, si nécessaire.
À Téhéran, Nader (Peyman Maadi) et Simin (Leila Hatami) sont un couple de la classe moyenne. Ils sont mariés depuis 14 ans. Nader travaille dans une banque, Simin est enseignante. Ils ont une fille Termeh (Sarina Farhadi), âgée de 11 ans. Le père (Ali-Asghar Shahbazi) de Nader, atteint de la maladie d'Alzheimer, totalement dépendant, vit dans leur appartement. Simin veut que la famille parte vivre à l'étranger, car elle veut des conditions de vie meilleures pour Termeh. Ils ont obtenu un visa d'immigration qui expire dans 40 jours. Nader, ne voulant pas abandonner son père, refuse de partir d'Iran. Simin entame une procédure de divorce. Le juge (Babak Karimi) estime que les problèmes du couple ne justifient pas un divorce et il rejette la demande de Simin.
Ali est un garçon de neuf ans qui habite avec sa famille dans un quartier pauvre de Téhéran, en Iran. Un jour, il va faire réparer les chaussures de sa petite sœur Zahra chez le cordonnier, mais perd le paquet sur le chemin du retour. Rentré à la maison, il n'ose rien dire à ses parents, qui sont pauvres et ont à peine assez d'argent pour payer le loyer. Sa sœur consent à garder le secret, mais refuse d'aller en pantoufle à l'école. Ils décident alors de partager la paire de baskets d'Ali pour aller à l'école. Zahra la porte le matin et Ali l'après-midi.
L’histoire est basée sur un fait divers : un jeune chômeur d’origine turque vient d’être emprisonné après avoir tenté d’escroquer une famille de la bourgeoisie de Téhéran. Auprès d’eux, il se fait passer pour la vedette du nouveau cinéma iranien, Mohsen Makhmalbaf, un intellectuel engagé dans la révolution islamiste qui devient de plus en critique envers le régime et dont la popularité est immense d’un bout à l’autre du pays. Hossein Sabzian a profité d’une rencontre avec une femme dans un bus pour lancer son imposture. Il a proposé à la famille Ahankhah de les enrôler dans son nouveau film et leur a extorqué un peu d’argent pour sa production imaginaire mais la supercherie est découverte par la famille, entrainant Hossein dans un procès .
À l'école du village de Koker, dans une classe d'enfants de huit ans, Mohammad néglige de faire ses devoirs pour la troisième fois sur son cahier : son maître lui dit que s'il oublie une quatrième fois, il sera renvoyé sur-le-champ.
Le film parle d’un garçon aveugle, Mohammad, qui est sorti d’une école spécialisée à Téhéran pour les vacances d’été. Son père, déshonoré et accablé par la cécité de Mohammad, arrive tard pour le récupérer et essaie de convaincre le directeur de l’école de garder Mohammad durant l’été. Le directeur refuse, donc le père de Mohammad l’emmène à la maison.
Le film est tourné dans une camp de réfugiés kurdes à la frontière de l’Irak et de la Turquie à la veille de l’invasion de l’Irak en 2003. L’installeur des satellites de treize ans, Kak Satellite (Soran Ebrahim), est connu pour installer des soucoupes et des antennes chez les villageois des environs qui souhaiteraient avoir des nouvelles de Saddam Hussein, et pour son savoir limité de l’anglais. Il est dynamique, mais également manipulateur.
Pendant la guerre entre l'Iran et l'Irak, Bashu, un jeune garçon, perd sa maison et toute sa famille. Effrayé, il fuit furtivement de son village, et grimpe dans un camion. Lorsqu'il arrive dans la partie nord du pays, il descend du camion, mais est désarçonné par le langage et la manière de vivre différente.
Lors d'un week-end au bord de la mer Caspienne au nord de l’Iran, un groupe d’amis de la faculté de droit de l'université de Téhéran se rassemble. Ils sont trois couples : Sepideh (qui organise ce voyage), son mari Amir et leur fille ; Shohreh, son mari Peyman et leurs deux enfants, dont un garçon nommé Arash ; Naazy et son mari Manouchehr ; et Elly, institutrice de la fille d'Amir et Sepideh, que cette dernière a invitée pour la présenter à Ahmad, un ami revenu d’Allemagne pour (probablement) se marier.
Lorsqu'un éleveur d'autruches se concentre sur le remplacement de l'appareil auditif de sa fille, qui se casse juste avant des examens cruciaux, tout change pour une famille rurale en difficulté en Iran. Karim arrive en moto dans un monde qui lui est étranger - le Téhéran incroyablement trépidant, où les opportunités soudaines d'indépendance le font vibrer et le mettent au défi. Mais son honneur et son honnêteté, ainsi que son autorité traditionnelle sur son clan inventif, sont mis à l'épreuve, alors qu'il se heurte aux vastes écarts culturels et économiques entre son village niché dans le désert et une métropole internationale en pleine effervescence.
L'histoire débute par des scènes d'attachement solide d'un villageois d'âge moyen, Masht Hassan, à sa vache favorite. Hassan est marié mais il n'a pas d'enfant. Son unique bien est une vache qu'il chérit - l'unique vache du village.
Hamid Hamoun, directeur d’une compagnie d’import-export, vit avec sa femme Mahshid, artiste de la peinture abstraite. Issue d’une famille riche, Mahshid a épousé Hamoun de classe moyenne pour ses goûts intellectuels et ses points de vue avant-gardistes.